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L’ADEESE embauche
COMMUNIQUÉ: LA CSQ PARTICIPE À L’EXPLOITATION DES STAGIAIRES ET MENACE DE FAIRE TOMBER LE FRONT COMMUN
L’Association étudiante en éducation de l’UQAM (ADEESE) et le Syndicat des étudiant·e·s employé·e·s de l’UQAM (SÉTUE) veulent dénoncer l’interférence qu’exerce la direction de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) pour empêcher que les stagiaires dans les centres de services scolaires puissent exercer leur droit de se syndiquer.
Après des efforts de mobilisation de plusieurs mois menés par l’ADEESE et le SÉTUE, l’AFPC a déposé 36 requêtes en accréditation dans 18 centres de services scolaires dans le but que le Tribunal administratif du travail accorde le droit de négocier une convention collective au nom des stagiaires de ces 18 centres de services scolaire.
Il est important de souligner que les personnes étudiantes ne reçoivent aucun salaire lorsqu’elles effectuent un stage. C’est une situation précaire et stressante qui affecte les stagiaires au quotidien. Plusieurs mobilisations et grèves ont été menées par de nombreuses associations étudiantes dans le but d’amener le gouvernement à offrir une salarisation aux stagiaires et des conditions de travail respectables.
Cette lutte pour la salarisation des stages est essentiellement féministe : les stagiaires en éducation, en sexologie, en travail social et en santé revendiquent le droit à un salaire dans un milieu où les femmes sont majoritaires alors que leurs confrères inscrits dans des programmes de génie en bénéficient déjà.
De manière inattendue, la CSQ a demandé à l’AFPC de retirer ses requêtes dans les centres de services scolaires où elle est présente sans quoi, elle menace de quitter le front commun du secteur public qui regroupe plus de 400 000 employé·e·s du gouvernement. Autrement dit, la CSQ est prête à affaiblir le rapport de force de milliers de personnes syndiquées dans les secteurs de la santé et de maintenir les stagiaires dans des conditions précaires. On rappelle que ces deux secteurs sont majoritairement composés de femmes. À maintes reprises, l’ADEESE et le SÉTUE ont proposé à la CSQ une rencontre afin de trouver un terrain d’entente. En vain, ces tentatives sont restées sans réponse.
Cette demande est sans fondement et sape les nombreuses tentatives de salarisation des stagiaires. Il est décevant et consternant d’observer qu’une centrale syndicale puisse empêcher la syndicalisation de travailleuses et travailleurs aux conditions précaires pour des “chicanes” syndicales et corporatistes.
Nous nous attendions à ce qu’une pareille attaque provienne d’une partie patronale, mais pas d’une centrale syndicale! C’est un coup bas et nous dénonçons fermement cette ingérence dans l’exercice du droit d’association des stagiaires.
LA CSQ PARTICIPE À L’EXPLOITATION DES STAGIAIRES ET MENACE DE FAIRE TOMBER LE FRONT COMMUN
Une direction syndicale antiféministe et non solidaire bloque le dépôt des requêtes d’accréditation de stagiaires en éducation en se basant sur des fabulations de maraudage.
La lutte pour la salarisation de tous les stages bat son plein dans les milieux étudiants et est une des luttes étudiantes les plus importantes depuis la mobilisation contre la hausse des frais de scolarité en 2012. D’une durée de cinq semaines à l’automne dernier, la grève de l’ADEESE-UQAM (association étudiante en éducation), forte de près de 5300 membres, s’est terminée sur des engagements importants de sa faculté pour protéger les stagiaires et sur une décision collective des membres de s’engager dans la voie de la syndicalisation. Cette voie apparaissait comme un des moyens permettant une salarisation des stages pour que les stagiaires obtiennent enfin des conditions de travail acceptables. C’est la profession enseignante en entier qui y gagne étant donné le travail essentiel des stagiaires dans le maintien du système scolaire à l’heure actuelle.
Après des efforts de mobilisation de plusieurs mois menés par l’ADEESE, le SÉTUE (Syndicat des étudiant.e.s employé.e.s de l’UQAM) et l’AFPC, cette dernière a déposé 38 requêtes d’accréditation dans 18 centres de services scolaires. Dans un revirement de situation inattendu, Éric Gingras, président de la CSQ, a exigé, sous menace de retrait du Front commun du secteur public, que l’AFPC rétracte les demandes d’accréditation des centres de service scolaire où la CSQ est présente, ce qui représente une majorité des demandes. La justification de la CSQ est que l’AFPC, affiliée à la FTQ, contreviendrait au protocole de non-maraudage liant les syndicats au sein du front commun. Nous jugeons au contraire que la CSQ fait un usage abusif de ce protocole, ce qui est contradictoire avec ses propres principes visant à prévenir les conflits intersyndicaux.
Une entente de non-maraudage ne peut pas s’appliquer à des personnes non syndiquées. Les stagiaires représenté.e.s par l’ADEESE ont signifié leur intérêt commun à être défendu.e.s par le SÉTUE étant donné la particularité de ces travailleur.euse.s en tant que stagiaires. Les stagiaires travaillent sur de courtes périodes de temps dans un contexte d’apprentissage où les personnes enseignantes entretiennent une certaine relation de pouvoir : leurs intérêts pourraient difficilement être promus par un syndicat représentant ces personnes. L’université représente le dénominateur commun de l’expérience des stagiaires, et donc il est logique qu’un syndicat qui y est lié soit le moteur de la défense collective de leurs droits.
Qui plus est, réduire les efforts de syndicalisation de l’AFPC auprès de stagiaires à une tentative indirecte de maraudage des personnes enseignantes membres de la CSQ n’est tout simplement pas raisonnable. Assumer que de syndiquer des stagiaires auprès de l’AFPC pourrait lui permettre d’avoir un accès privilégié à d’autres travailleur.euse.s de ces milieux de travail – et qu’elle s’en servirait pour du maraudage – indique justement une méconnaissance des conditions de stage et une méfiance infondée. D’ailleurs, la CSQ partage déjà les milieux scolaires avec la FAÉ et la CSN, deux autres syndicats qui n’ont pas interféré avec les demandes d’accréditation. Monsieur Gingras, voulez-vous mettre en péril le front commun syndical sur des extrapolations difficilement justifiables? Ce n’est pas seulement les conditions des stagiaires qui sont en jeu à cause de la menace de retrait de la CSQ, mais celles de l’entièreté des travailleur.euse.s faisant partie du front commun.
Si un risque de maraudage motive bel et bien la CSQ, pourquoi a-t-elle alors refusé de discuter avec l’AFPC, la FTQ (syndicat auquel l’AFPC est affiliée) et l’ADEESE quand ces organisations lui ont proposé de signer une entente de non-maraudage ? Par ailleurs, la CSQ n’a à aucun moment signifié une envie de syndiquer les stagiaires. Il est consternant d’observer que les actions d’un syndicat puissent concrètement empêcher la syndicalisation de travailleurs.euse.s aux conditions si précaires.
La lutte pour la salarisation des stages est essentiellement féministe : les stagiaires en éducation, en sexologie, en travail social et en santé revendiquent le droit à un salaire et à des conditions de travail dans un milieu où les femmes sont majoritaires alors que leurs confrères en génie en bénéficient. Cette absence de salaire exacerbe les conditions déjà très précaires des personnes étudiantes : en plus de payer de 600 à 900$ par stage en enseignement pour ce qui est en réalité un travail à temps plein non rémunéré, ces personnes doivent le plus souvent occuper un autre emploi pour subvenir à leurs besoins.
Les personnes enseignantes ont longtemps soutenu les stagiaires dans leur lutte de salarisation et plusieurs syndicats, locaux et nationaux, ont contacté l’ADEESE pendant ses grèves pour appuyer les stagiaires. Ainsi, la CSQ semble aller à l’encontre des positions de ses membres en prenant la décision de bloquer les demandes d’accréditation. Monsieur Gingras, est-ce que vos membres sont réellement prêt.e.s à affaiblir le front commun pour saper les tentatives de salarisation des stagiaires en éducation? Vraiment?
Par cette présente lettre, l’ADEESE et le SÉTUE appellent à la solidarité de la CSQ et lui somment de laisser l’AFPC poursuivre le dépôt de toutes les requêtes au tribunal qui permettront enfin d’améliorer la condition des stagiaires.
Solidairement en colère,
ADEESE (Association des étudiantes et étudiants de la faculté des sciences de l’éducation de l’UQAM)
SÉTUE (Syndicat des étudiants et étudiantes employé-e-s de l’UQAM)
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L’Association des étudiantes et étudiants de la faculté des sciences de l’éducation de l’UQAM (ADEESE-UQAM) représente près de 5300 étudiant.e.s dans divers domaines des sciences de l’éducation.
Le Syndicat des étudiants et étudiantes employé-e-s de l’UQAM (SÉTUE) représente plus de 3000 travailleuses et travailleurs œuvrant à l’UQAM à titre d’auxiliaires d’enseignement ou de recherche ainsi qu’à titre de personnel non-académique.
Le Philanthrope embauche!
Le café coopératif Le Philanthrope cherche à combler deux postes de co-gestionnaire au sein de son équipe.
Idéal pour qui souhaite s’impliquer dans la vie étudiante de sa faculté. La charge de travail est de 5 à 15 heures par semaine (selon tes disponibilités). L’emploi consiste à partager les tâches de gestion du café selon ses compétences et à opérer le café en tant que barista.
Si le poste t’intéresse, envoie ton CV avec tes disponibilités et une petite présentation de ta personne au Philan: cafe_le_philanthrope@hotmail.com.
Embauche de commis au Service des livres usagés
L’ADEESE embauche à la coordination du Service des livres usagés (SLU)
Le Service des livres usagés est à la recherche d’une nouvelle perle rare pour assurer sa coordination. Si tu t’es rendue jusqu’ici, c’est que c’est possiblement toi!
Offre d’emploi pour le poste de coordonnateur-trice du service de livres usagés de l’ADEESE-UQAM
Le milieu
L’association des étudiantes et étudiants des sciences de l’éducation de l’UQAM (l’ADEESE-UQAM) est une société incorporée en vertu de la loi des compagnies du Québec, partie III. Elle représente les intérêts de plus de 5000 étudiantes et étudiants inscrits dans différents programmes d’étude regroupés au sein de la Faculté des sciences de l’éducation. L’ADEESE travaille à la promotion des droits et des intérêts de la population étudiante, représente les étudiantes et les étudiants sur les instances universitaires et organise plusieurs activités à caractère éducatif et social. L’ADEESE se veut par ailleurs un carrefour d’informations et de services pour les étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation.
Le poste
Le poste en est un de coordination des différents aspects du Service des livres usagés (SLU). Il est responsable, notamment, des fonctions suivantes :
- Embauche, formation, gestion et évaluation des employés-es du SLU
- Organisation des différentes périodes de dépôt et vente de livres
- Présence au local
- Gestion du matériel et du local
- Gestion de l’inventaire
- Vérification financière des activités du SLU
- Coordination des paiements des consignations
- Augmentation de la visibilité et développement du SLU
- Communications avec le conseil exécutif et le conseil d’administration
Exigences
- Capacité de travailler en équipe
- Capacité de coordonner des employés-es
- Bonne communication verbale et écrite
- Connaissances en informatique
- Sens de l’organisation
- Grande disponibilité et flexibilité
- Connaissance de base en comptabilité
- Sens de l’autonomie et initiative
Atouts
- Être familier avec le logiciel Access
- Expérience au SLU
- Étudier en éducation à l’UQAM
Conditions de travail et autres dispositions
- Contrat de 120 heures ou plus, débutant l’été 2021
- Formation rémunérée fin avril/début mai 2021
- Possibilité de renouvellement pour la session d’automne
- Taux salarial de base : 17,60$/heure
Contrat négociable à partir des normes en vigueur à l’ADEESE.
Les personnes intéressées doivent faire parvenir leur curriculum vitae, accompagné d’une lettre de motivation, avant le 22 mars 2021, à l’adresse courriel suivante : adeese@uqam.ca. Seules les candidatures retenues seront contactées avant le 27 mars; elles devront être disponibles à partir du 29 mars à des fins d’entrevue.
Mars2021_SLU_Offre_emploi_coordination
élections annuelles et nominations 2020-2021
Voici les membres du Conseil exécutif 2020-2021 de l’ADEESE-UQAM.
Responsable à la coordination
Jeanne Morissette
Responsable au secrétariat général
Francine Réhel
Responsable aux affaires financières et administratives
Emmanuelle Boisvert
Responsable aux affaires uqamiennes
Pierre-Laurent Beauchamp
Responsable aux communications et à la mobilisation
Simon-Pierre Mercille
Responsable aux affaires internes
Anne-Sophie Bendwell
Responsable aux affaires externes
Charles-Antoine Goulet
Responsable à la vie étudiante
Karolanne Gendron
Responsable aux affaires universitaires
Isabelle Poulin
Responsable à la recherche
Audrey-Ann Landry
Responsable aux services
Gabrielle Brochu-Bélanger
Voici les nominations institutionnelles adoptées à l’assemblée générale du 1er octobre 2020.
Comité de programme de formation à l’enseignement (CPFE)
- Jeanne Morissette
Conseil académique de la faculté des sciences de l’éducation (CAFSE)
- Gabrielle Brochu-Bélanger (représentante de premier cycle)
- Emmanuelle Boisvert (représentante de premier cycle)
- Ève Gladu (représentante des cycles supérieurs)
Comité des études de la faculté des sciences de l’éducation (CEFSE)
- Jeanne Morissette (représentante de premier cycle)
- Amélie Vallière (représentante des cycles supérieurs)
Commission des études
- Pierre-Laurent Beauchamp
Comité de la vie étudiante (CVE)
- Emmanuelle Boisvert
Comité de la Recherche de la Faculté des Sciences de l’Éducation (CRFSE)
- Hugo G. Lapierre
Comité institutionnel sur le respect des personnes, la prévention et l’intervention en matière de harcèlement
- Emmanuelle Boisvert
Automne 2020 Concernant la pandémie
Veuillez noter qu’exceptionnellement, nous ne vous encourageons pas à venir nous rencontrer à nos locaux. Si vous voulez contacter l’association étudiante, privilégiez de nous écrire un courriel. Nous y répondrons dans les meilleurs délais.
Malheureusement, le café Le Philanthrope et le Service des livres usagés (SLU) sont aussi temporairement fermés.
Pour vous préparer en cette rentrée particulière, l’UQAM à mis sur pied cet info-études
Suivez notre page Facebook pour être au fait des dernières informations concernant nos activités et vos droits.
Poursuite du trimestre
Pour accéder au document adopté par le conseil d’administration de l’UQAM
Un info-direction devrait vous être envoyé d’ici la fin de la journée. Nous vous invitons à lire le document attentivement et nous écrire si vous avez des questions : affaires.uqamiennes@adeese.org
Voici certains passages pertinents :
À propos de la plupart des cours en présentiels
Modèle A : continuation des enseignements en ligne
Dans ce modèle, les enseignements habituellement donnés en mode présentiel se poursuivront en ligne. Il reviendra alors à l’enseignante, enseignant d’adapter les modes de prestation des enseignements et les évaluations en conséquence, et d’identifier les outils technologiques à privilégier.
Dans la mesure du possible, les modes d’évaluation devront respecter les ententes d’évaluation en vigueur. Si des modifications doivent être apportées à ces dernières pour tenir compte du contexte d’urgence sanitaire (par exemple : impossibilité de tenir un examen en mode présentiel), elles se feront dans un esprit d’assouplissement et d’ouverture aux situations vécues par les étudiantes, étudiants. Ces modifications seront déterminées par l’enseignante, enseignant avant le 27 mars, et communiquées au groupe-cours de même qu’à la direction départementale qui les transmettra au décanat.
Les solutions technologiques offertes par l’UQAM permettent aux enseignantes, enseignants de diffuser leurs activités d’enseignement de manière synchrone (par exemple un cours en direct via Zoom) et/ou asynchrone (par exemple une capsule théorique ou une démonstration enregistrée via Panopto). Cependant, dans un souci d’équité et d’inclusion et afin de tenir compte des situations individuelles des étudiantes, étudiants, tous les contenus doivent être disponibles et diffusés en différé en ligne que ce soit par exemple dans les espaces-cours Moodle ou par courriel.À cet égard, il est à noter que les équipes du Carrefour technopédagogique, en collaboration avec le Centre de formation en soutien à l’académique, consacrent leurs efforts à mettre à la disposition des enseignantes, enseignants divers documents, outils et formations pour les appuyer dans la migration des activités en ligne (voir annexe 2). De même, les étudiantes, étudiants seront soutenus à distance par les équipes du Vice-rectorat aux systèmes d’information, notamment par un service de clavardage.
Sur les stages
Par leur nature, les stages représentent un défi particulier dans le contexte actuel. Rappelons que l’Université n’est pas l’unique responsable de la validation de la formation acquise dans les stages. Des partenaires externes – dont un grand nombre sont touchés par les mesures de distanciation sociale ou ont cessé leurs activités sur une base volontaire – et des ordres professionnels sont en effet associés étroitement à l’acquisition des compétences et à la reconnaissance des apprentissages réalisés. Dans ce contexte, il est pratiquement impossible d’adopter des mesures générales qui couvriraient tous les cas de figure. Les directions de programme, en collaboration avec les facultés/école et les partenaires impliqués, sont donc invités à trouver des mesures de remédiation, dans le respect des consignes et des informations qu’elles sont susceptibles de recevoir des milieux de stage ou des ordres professionnels.
Il convient de rappeler que les principes suivants guideront la prise de décision :
•Les personnes impliquées dans les activités de stage doivent mettre tout en œuvre pour favoriser la réussite des étudiantes, étudiants dans le respect des objectifs de formation;•Les responsables des stages devront d’abord déterminer si l’évaluation du stage est possible en vertu des modèles proposés. Des activités de substitution devraient être proposées lorsque c’est possible;
•Toutes les décisions prises seront acheminées à la faculté/école et sanctionnées par les doyennes, doyens.
Sur les travaux et évaluations qui tombaient entre le 14 au 27 mars
Toutes les échéances pour la remise de travaux ou la tenue d’examens pendant la période de suspension des activités académiques en mode présentiel ou en ligne du 14 au 27 mars 2020 sont réputées reportées au-delà du 27 mars. De plus, tous les cours donnés en présentiel avant le 14 mars qui ont eu lieu en ligne entre le 14 et le 30 mars 2020 ne sont pas matière à examen.Aucune pénalité ne sera donc encourue pour un retard à remettre un travail pendant cette période. L’enseignante, l’enseignant informe son groupe-cours au plus tard le 27 mars des nouvelles échéances en lui communiquant les modalités d’évaluation pour la continuation du trimestre.
Abandons et incomplets
En ce qui concerne les cas d’exception de nature individuelle, toute étudiante, tout étudiant pourra choisir d’abandonner les activités auxquelles elle, il est inscrit au trimestre actuel sans mention d’échec.
Si une étudiante, un étudiant se trouve par ailleurs dans l’incapacité de suivre les enseignements en ligne faute de matériel informatique adéquat ou pour d’autres raisons liées au contexte de pandémie, mais qu’elle, il désire terminer le cours au-delà de la date de fin du trimestre d’hiver 2020, le délai pour la conversion de la lettre I (Incomplet) en note littérale sera exceptionnellement prolongé jusqu’au début du trimestre d’automne 2020.